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Infos pratiques
Entrée libre (dans la limite des places disponibles)
Réservations exclusivement par mail : scenesdavignon@gmail.com

Pour télécharger le programme complet , c'est ici...

Retrait des billets
Le retrait des billets se fait les soirs de représentation, au Palais des
Papes, de 17h30 à 18h15.
Tout billet réservé et non retiré au plus tard 15 minutes avant le début de
la représentation, sera de fait, annulé.


Cycle de lectures
Par les Scènes d'Avignon et le Festival d'Avignon
Dans la cloître du Palais des Papes



Dimanche 7 juillet / 18h30 / Festival d’Avignon
Flema

Une Patte retombe toujours sur ces Chattes

De et par Rébecca Chaillon

Tupamadre
De et par L. Etchart

Les autrices : Metteuse en scène, performeuse et autrice, fondatrice de la Compagnie Dans le ventre, Rébecca Chaillon met en scène des spectacles performatifs engagés sur le front des luttes contre les discriminations (sexuelles, raciales et de genre). Des discriminations qu’elle interroge avec un sens du grotesque réjouissant. Son travail questionne les mécanismes systémiques qui discriminent les personnes noires. Sa vision scénique hybride les langages et décloisonne les pratiques artistiques en proposant des images coups de poing.


Lundi 8 juillet / 18h30 / Le Gueuloir
Rencontres en Avignon autour des écritures scéniques Franco-Belgo-Luxembourgeoises
Mises en voix Franck Lemaire / Distribution en cours

Le garçon des étangs
de Denis Jaro
Dans une France totalitaire où la pensée libre est traquée, opprimée, emprisonnée, un adolescent réussit à échapper à l’arrestation arbitraire et violente de ses parents.

La chair quitte les os
de Paul Mathieu
Namibie, une femme Nama parle. Une des rares survivantes du camp de concentration de Shark Island que les Allemands avaient installé entre 1905 et 1907 sur une île en face de Lüderitz.

Terre-ville
de Maud Galet-Lalande
Terre-Ville, ce sont les portraits d’une lignée de trois mères qui connaissent ou ont connu les affres de l’isolement et des journées sans fin, loin des clichés et des rôles qu’on assigne trop souvent aux mères dites "célibataires".


Mardi 9 juillet / 18h30 / Le Gueuloir
Rencontres en Avignon autour des écritures scéniques Franco-Belgo-Luxembourgeoises
Mises en voix Jean Boillot / Distribution en cours

Sous la dalle, un coquelicot
d'Aude-Laurence Biver
Basile, un ancien artiste de street-art qui a fait le choix d'un mode de vie alternatif, a élu domicile sur une parcelle de forêt. Il tente de mettre sur pied un projet de réhabilitation de la friche industrielle attenante. Un matin, il apprend que le terrain est convoité par des investisseurs qui projettent d'y construire un "parc d'activités commerciales.

Un héritage
de Ian De Toffoli
Un héritage raconte la lutte entre une femme et une entreprise de technologie américaine pour la sauvegarde d’une vieille ferme et du terrain agricole qui l’entoure, dont elle et sa fratrie ont hérité.

Vandalium
de Tullio Forgiarini
l'histoire hilarante et glaçante d'un briseur de système qui, dès sa plus tendre enfance, cherche à fuir son environnement traumatisant.

Jeudi 11 juillet / 18h30 / Théâtre du Balcon
65 Rue d’Aubagne
De Mathilde Aurier
Avec Lou Spath-Gansoinat, Marie Benati et Tchavdar Pentchev
Sous la direction de Jean-Baptiste Barbuscia
En collaboration avec les EAT

Le 05 Novembre 2018, deux immeubles s’effondrent à Marseille. Le 63 rue d’Aubagne, inhabité, tombe en premier. Dans sa chute, il emporte le 65 rue d’Aubagne, habité.
Nina est une survivante des effondrements. Sur son chemin elle croise Chiara, Gabriel, Sara, Ibrahim, Ziad et Marianne. 65 rue d’Aubagne est une immersion à plusieurs voix dans les évènements qui précèdent et succèdent ce drame intime, social et politique.Comment vivre, survivre, avec la Catastrophe ?

Vendredi 12 juillet / 18h30 / Théâtre du Chêne Noir
Cabaret Shakespeare - La Cour des Miracles
De Bastien Ossart
Avec Bastien Ossart, Iana-Serena de Freitas, Nicolas Quelquejay, Lydi Moreira, Nevedya (ou Louisa decq)
Sous la direction de Bastien Ossart

Dans la ville de Camerapolis, toute manifestation culturelle est bannie. Quiconque brave la sinistre loi est irrémédiablement mis au ban de la société. Seul le cabaret de La Cour des Miracles survit. À ses risques et périls. Ce cabaret est le seul lieu restant où l’homme parle à l’homme. Tout autour a été détruit, soumis à la loi du plus fort. Les hommes résistent encore et toujours. Ils viennent assister à ce spectacle cathartique, transcendant, qui honore l’homme, la vie, l’amour et condamne le tyran, l’égoïsme et la cupidité.
Dans un monde qui croule, réussira-t-on à relever ce qui reste de grand en l’homme?

Écrit en 2018, ce texte prévoyait, sans le savoir, certains des évènements qui surviendront un an après.

Samedi 13 juillet / 18h30 / ETC Caraïbes
À travers la lecture d'extraits des trois derniers textes qu'il a accompagnés jusqu'à l'édition, ETC Caraïbe- Centre caribéen des dramaturgies contemporaines invite à la rencontre des nouvelles écritures théâtrales francophones de la Caraïbe.

La grande chambre
De Fabienne KANOR (Martinique) _ Caraïbéditions (2024)
Avec (distribution en cours)
Sous la direction de Arielle Bloesch

Dans une chambre d’hôtel sans allure ni horizon, Dorylia, Antillaise de France, reçoit son client, un immigré clandestin fraîchement débarqué du Sénégal. Mais ce n’est pas faire le sexe qui unira ces deux-là. A mesure-mesure que la nuit s’épaissit, l’un et l’autre se racontent. Dans cette pièce où s'interpellent les espaces (Afrique, Antilles, Europe) et les temporalités (hier, aujourd'hui), Fabienne Kanor bâtit une épopée contemporaine des mémoires afro-descendantes.

La petite fille que le soleil avait brûlée

De Andrise PIERRE (Haïti) - Edition Espace 34 (2023)
Avec (distribution en cours)
Sous la direction de Rita Ravier

Après sept années passées à l'étranger, la nièce de Yole revient dans son pays natal pour lui faire une demande très spéciale : porter sa robe de mariée le jour de son propre mariage. La découverte de la robe nuptiale tachée de sang et déchirée ouvre au récit de la vie de Yole.
Dans cette pièce, Andrise Pierre montre le visage d'une société haïtienne éminemment patriarcale, qu'il s'agit ici de combattr.

Mayolé Sang
De José JERNIDIER (Guadeloupe) - Caraïbéditions (2024)
Avec (distribution en cours)
Sous la direction de Arielle Bloesch

Roger va charger Ti Rony « son fils », d'une lourde mission : aller chez ce diable et redoutable Sylver pour lui dire que son papa veut le défier dans un « Mayolè sang », vendredi soir lors de la veillée de Philogène Ti Chapo sous le grand filao du lakou. Mais Rita, la mère de Ti Rony, va tout faire pour empêcher ce combat.
A partir d'une variation autour du “Mayolè”, art martial guadeloupéen pouvant autrefois aller jusqu'au dernier “sang”, José Jernidier interroge les masculinités antillaises.

Dimanche 14 juillet / 18h30 / Théâtre des Carmes André Benedetto
C’est pas parce qu’on a rien à dire
qu’il faut fermer sa gueule

De et par Johana Giacardi

Inspiré par l’intimité des émissions de radio de nuit et l’énergie débordante des scènes ouvertes, la lecture nous invite à une sorte de veillée moderne dans laquelle il sera possible de tout dire !
“C'est pas parce-qu'on n'a rien à dire qu'il faut fermer sa gueule, je vais essayer de le prouver la première, ce n'est pas pour donner l'exemple mais un peu quand même. Moi, j'ai cru pendant longtemps que pour pouvoir prendre la parole il fallait être quelqu'un, que c'était réservé à une certaine élite, du coup comme j'avais besoin de parler bah je me suis demandé : Comment est-ce qu'on devient quelqu'un ? Est-ce qu'un jour je serai quelqu'un ? Sans comprendre qu'en fait j'étais déjà quelqu'un. Finalement j’ai choisi de ne pas attendre d'avoir trouvé ma place, pour parler de ma difficulté à la trouver.”

Lundi 15 juillet / 18h30 / Théâtre du Chien Qui Fume
Kassandra
De Sergio Blanco
Avec Clara Cirera et Nicolas Avinée
Sous la direction de Nicolas Avinée

Kassandra, princesse de Troie, se livre à nous en attendant le taxi qui la mènera vers l'oubli. A travers elle, c'est autant l'histoire d'une femme que celle du monde qui se représentent à nous. Incarnation d'une misère séculaire en proie à la violence du monde, la voici, cette princesse déchue qui a échangé les dieux grecques contre un poster de Bugs Bunny et un tatouage d'ABBA, ses symboles de liberté et d'espoir. Ici, elle nous raconte son histoire, sa famille, ses amours, la guerre, l'exil et réhabilite ainsi son propre mythe.
Ce texte émouvant, drôle et terrifiant de Sergio Blanco est une invitation à se rencontrer, s'aimer, à faire l'effort de se comprendre.

Mercredi 17 juillet / 18h30 / Théâtre des Halles
Des femmes qui nagent
De Pauline Peyrade
Avec Myrtille Bordier, Nolwenn Le Doth, Anna Pabst et Cyrielle Voguet
Sous la direction du Collectif le Bleu d’Armand

Marilyn Monroe, Romy Schneider, Barbara Loden, Chantal Akerman, Delphine Seyrig, Noaomi Kawase, Julia Ducournau, Karidja Touré, Sigourney Weaver, Leïla Kilani, Kelly Reichardt... Elles sont plus d’une centaine à traverser cet ambitieux projet d’écriture mené par Pauline Peyrade. Elles composent un portrait d’une femme aux mille facettes.
Hommage sororal aux actrices mythiques et aux réalisatrices de cinéma, Des femmes qui nagent nous renvoie le reflet de femmes puissantes et multiples, créatrices de leur vie autant que de leur art. Elles surgissent par associations, par fractures, pour brosser par touches un portrait pluriel, un parcours diffracté qui raconte les actrices et interroge leurs places dans nos imaginaires et dans nos fictions.
(Pauline Peyrade)

Jeudi 18 juillet / 18h30 / Théâtre Transversal
Polywere
De Catherine Monin
Avecc Stéphane Czopek, Catherine Monin, Thierry Otin et Clément Tranchepain
Sous la direction de Cécile Arthus

Polywere est une sortie hors des coordonnées humaines qui conduira un homme à élargir sa perception du monde, questionner sa propre définition, se confronter à cette altérité qu'est la proximité animale.
Suite à un épisode de chasse où, enfant, il s'est senti faire corps avec la bête, Emmanuel cherche à expérimenter cette familiarité forte et singulière. Il va pousser loin la proximité avec l'animal jusqu'à être diagnostiqué thériantrope et interné. Il s'échappe de l'hôpital psychiatrique et se réfugie dans la forêt. Dans cette nature matricielle, il va déployer une nouvelle perception du temps, de l'espace, du langage et du corps ; cette plongée va pourtant lui révéler son humanité.

 





Scènes d'Avignon
16, rue du puits tarasque - 84000 Avignon


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